Ton premier organe sexuel, c’est pas ton pénis. C’est ton cerveau.

Quand on parle de sexualité masculine, on pense spontanément au pénis, à l’érection, au plaisir physique.
Mais la réalité est plus subtile. Tout commence bien plus haut que tu ne l’imagines : dans ton cerveau.
C’est lui qui capte une envie, qui fabrique une excitation, qui déclenche des signaux vers ton corps. Et c’est lui aussi qui peut freiner, ralentir, bloquer.
En d’autres termes, ton cerveau est le vrai premier organe sexuel.
Si tu l’oublies, tu passes à côté d’un élément essentiel de ton excitation.
Voici trois raisons d’y penser sérieusement.
1. Ce que tu penses influence ce que tu ressens
Imagine : tu es sur le point d’avoir un rapport.
– Tu te dis : “J’espère que je vais y arriver.” → ton corps se crispe.
– Tu te dis : “Je dois assurer, je dois être parfait.” → la pression monte, l’excitation baisse.
À l’inverse, quand tu t’autorises à être dans le moment, ton corps suit.
Ton cerveau agit comme un filtre : ce que tu crois devient ce que tu ressens. Et ce que tu ressens se traduit directement dans ton excitation.
Question à toi : est-ce que tu as déjà remarqué que ton état d’esprit pouvait changer ton érection, parfois même avant d’avoir commencé ?
2. Ton niveau de stress ou de confiance fait toute la différence
Stress, fatigue, pression… tout ça ne se voit pas forcément de l’extérieur.
Mais ton cerveau, lui, les enregistre. Et quand il les perçoit, il freine.
C’est comme si ton excitation était une route :
– Confiance et détente = autoroute dégagée.
– Stress et doutes = ralentisseurs, embouteillages, parfois même stop brutal.
Ton érection n’est pas un simple bouton “ON/OFF”.
Elle dépend du terrain mental sur lequel elle circule.
Question à toi : quand tu repenses à tes moments d’intimité, dans quels contextes tu étais plus à l’aise… et dans quels contextes ça bloquait ?
3. Ton état d’esprit peut bloquer… ou nourrir ton excitation
Ton cerveau n’est pas neutre. Il peut être ton meilleur allié comme ton pire saboteur.
Un doute, une peur de “ne pas être assez”, une comparaison : et c’est l’élan qui casse.
Mais un mental détendu, une confiance assumée : et c’est l’excitation qui prend racine.
L’état d’esprit avec lequel tu abordes ta sexualité conditionne la suite.
Ton cerveau peut envoyer un feu rouge… ou un feu vert.
Question à toi : qu’est-ce qui, dans ta façon de penser, nourrit ton désir ? Et qu’est-ce qui l’éteint ?
Conclusion : ton corps n’est pas en panne, il t’écoute
Ton excitation n’est pas qu’une question “mécanique”.
C’est un dialogue entre ton mental et ton corps.
Tu sais maintenant pourquoi ça se joue “là-haut”.
Des “piliers”, des tips, des posts… ça donne des morceaux, pas une solution.
Ce qu’il faut, c’est une suite logique, du point A au point B.
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Sébastien M